Titre : |
Luces de bohemia Esperpento |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Ramon del Valle-Inclan, Auteur |
Editeur : |
Madrid : Espasa Calpe, 1987 |
Importance : |
p. 211 |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-84-239-1801-0 |
Langues : |
Espéranto (esp) |
Mots-clés : |
20e siècle Littérature espagnole |
Résumé : |
La pièce raconte les dernières heures de la vie de Max Estrella, un « andalou hyperbolique, poète d'odes et de madrigaux » déjà vieux, misérable et aveugle, qui jouit à un certain moment de quelque reconnaissance. Il est accompagné dans son pèlerinage dans une Madrid obscure, trouble, marginale et sordide, de Don Latino de Híspalis, et se voit donner la réplique par d'autres personnages de la bohème madrilène de l'époque.Dans leurs dialogues, ils versent de façon magistrale de critiques sur la culture officielle et la situation sociale et politique d'une Espagne condamnée à ne pas reconnaître ses grands esprits. Après de multiples vicissitudes, l'?uvre finit avec la mort de Max Estrella et se prolonge avec sa veillée funèbre. La pièce termine avec un soûlard qui crie : « Crâne privilégié ! », une expression répétée tout au long de l'histoire et qui résume l'approche « esperpentique » de la pièce. L'anecdote de l'échec et de la mort d'un écrivain suranné est transcendée à travers la figure de Max Estrella. L'?uvre devient une parabole tragique et grotesque de l'impossibilité de vivre dans un pays informe, injuste et oppressif, comme l'est l'Espagne de la Restauration. |
Nature du document : |
fiction |
Genre : |
théâtre |
Luces de bohemia Esperpento [texte imprimé] / Ramon del Valle-Inclan, Auteur . - Madrid : Espasa Calpe, 1987 . - p. 211. ISBN : 978-84-239-1801-0 Langues : Espéranto ( esp) Mots-clés : |
20e siècle Littérature espagnole |
Résumé : |
La pièce raconte les dernières heures de la vie de Max Estrella, un « andalou hyperbolique, poète d'odes et de madrigaux » déjà vieux, misérable et aveugle, qui jouit à un certain moment de quelque reconnaissance. Il est accompagné dans son pèlerinage dans une Madrid obscure, trouble, marginale et sordide, de Don Latino de Híspalis, et se voit donner la réplique par d'autres personnages de la bohème madrilène de l'époque.Dans leurs dialogues, ils versent de façon magistrale de critiques sur la culture officielle et la situation sociale et politique d'une Espagne condamnée à ne pas reconnaître ses grands esprits. Après de multiples vicissitudes, l'?uvre finit avec la mort de Max Estrella et se prolonge avec sa veillée funèbre. La pièce termine avec un soûlard qui crie : « Crâne privilégié ! », une expression répétée tout au long de l'histoire et qui résume l'approche « esperpentique » de la pièce. L'anecdote de l'échec et de la mort d'un écrivain suranné est transcendée à travers la figure de Max Estrella. L'?uvre devient une parabole tragique et grotesque de l'impossibilité de vivre dans un pays informe, injuste et oppressif, comme l'est l'Espagne de la Restauration. |
Nature du document : |
fiction |
Genre : |
théâtre |
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